“Tout ce qui est bon, on n’en parle pas !”…vraiment ?

“Tout ce qui est bon, on n’en parle pas !”…vraiment ?

Pensez-vous aussi que “Tout ce qui est bon, on n’en parle pas” ? Que la TV ne se concentre que sur les nouvelles négatives ?

Notre atelier du 10 juin 2014 nous a permis d’éclairer cette croyance et de prendre conscience que :

“Tout ce qui est bon, on n’en parle pas”…et cela peut-être une si bonne chose parfois pour ne pas susciter des jalousies !

“Tout ce qui est bon, on en parle”…, non seulement sur les ondes mais aussi dans nos communications personnelles. C’est bien de le reconnaître.


– “Tout ce qui est mauvais, on n’en parle pas”...Combien de secrets ne sont pas dévoilés aux populations pour ne pas générer des mouvements de panique ? Combien de secrets ne sont pas dévoilés dans les familles aussi pour éviter de connaître des vérités peut-être dramatiques ? Combien de choses “mauvaises” gardons-nous enfouies en nous qui pourraient nous donner “mauvaise conscience” et qui alimentent peut-être hontes et culpabilités ?

– “Tout ce qui est bon, je n’en parle pas”...Est-ce que je fais comme les infos des ondes ? Parlant plus de ce qui ne va pas plutôt de ce qui va ? Que peut-on gagner à parler de ce qui ne va pas ? Est-ce parfois “risqué” de parler de ce qui va bien ?

Tout est si relatif. Nos certitudes sont destinées au doute. La seule certitude, c’est que “tout passe”, le temps, les choses et nous aussi.

La seule souffrance c’est quand quelque chose ne passe pas, que ce soit de la nourriture, un événement, une pensée. C’est le moment d’investiguer nos croyances et de découvrir combien l’univers est bienveillant.

Et qu’est-ce qui pourrait m’empêcher à partir d’aujourd’hui, de choisir de parler de ce qui est bon et de pouvoir reconnaître que ce qui semble “mauvais” n’est peut-être pas si mauvais que je peux le croire au premier abord.

Les yeux fixés sur les avantages de toute situation, c’est ainsi que vit Katie. Cela rend heureux.

Sylvie, qui regarde les infos d’un autre œil

P.S.: TOUT, RIEN, TOUJOURS et JAMAIS sont des mots à éviter quand on veut établir une communication authentique.


Sylvie
Sylvie

Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 2008 au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *