Souffrir…à quoi cela sert-il ?
Planète BOBOS |
“Ça sert à dire OUF quand la douleur s’arrête !
Ça sert à apprécier plus.”
Alors n’attendons pas de souffrir pour apprécier plus ce que nous sommes et ne sommes pas, ce que nous avons et n’avons pas, nos proches, nos moins proches, etc.
Souffrir…à quoi cela sert-il encore ? A qui ?
Observez :
Quand vous occupez-vous plus de vos enfants ?
Quand ils souffrent ou quand ils sont dans le plaisir ?
La souffrance permet-elle de réveiller notre conversation avec nos enfants plus que le plaisir ?
Nos enfants souffrent-ils de nos manques de conversation ?
Souffrons-nous de leurs manques de conversation ?
La souffrance permet-elle de réveiller notre conversation avec Dieu, plus que le plaisir ?
Quand l’homme souffre, il pense plus à Dieu et s’adresse plus à lui.
Le malheur, rapproche-t-il de Dieu ?
Quand nos enfants souffrent, nous augmentons le contact physique et non physique avec eux.
Quand nous souffrons, notre contact physique devient instantanément intime
et le contact non physique ?
Quelquefois la souffrance permet Cela |
La souffrance réveille la prière, une prière qui peut être spontanée, une prière qui demande, qui commande, qui ordonne :
STOP, SOS = Save Our Soul = Sauvez notre Âme…
et la douleur s’arrête.
Et notre prière ? S’arrête-t-elle avec la douleur ?
Quel temps faudra-t-il encore à l’homme pour qu’il comprenne le sens, la valeur et la puissance de la Prière ?
Alors la souffrance revient au m^me endroit, dans un autre endroit, plus vive, moins vive, en moi ou mes proches…
Et l’homme réveille sa prière, sa respiration, sa quête pour guérir du “mal”;
Et si c’était du “Bien” qu’il faille guérir ?… si guérir est encore nécessaire.
Sylvie Ayouf = AIE ! OUF ! comme vous ?