“Mon rêve : Gagner plus d’argent !”

Regardez bien : La porte sur la richesse est ouverte.

Qui veut gagner plus d’argent ?
Qui veut gagner moins d’argent ?

Qui  veut gagner “tout court” ?
Qui veut perdre “tout court” ?

Que suis-je prêt à perdre ?
Ce que je suis prêt à perdre, c’est ce que je peux gagner !

“Je ne comprends pas, expliquez-moi !”

– Comment peut-on remplir un verre déjà plein ?
Ne faut-il pas vider le verre pour le remplir ?
Ne fat-il pas faire le vide pour remplir ?

Gagner est en relation avec perdre, avec le vide.
Gagner plus, est en relation avec, faire un plus grand vide.

La dette est une forme de vide :
En créant de la dette, mon compte peut se remplir.

Mais qui suis-je, endetté ? à l’aise ou pas ?
Qui suis-je quand l’univers m’invite à perdre ce qui m’appartient ?
Qui suis-je devant le manque ?
Qui suis-je devant le vide ?

Ce VIDE que nous humains, ressentons tous quelquefois, comment le vivons-nous ?
Quand l’estomac est vide, quand le ventre est vide,
quand le porte-monnaie est vide, quand les placards sont vides,
quand la tête est vide, quand le coeur est vide, quand les mains sont vides…
Le vide, c’est tous les malheurs de la terre !

Peut-il y avoir un vide agréable, voire extrêment agréable ?
Le vide, peut-il aussi être divin ?

Gagner, gagner plus, est le résultat de notre relation avec le vide.

Mais, n’avons-nous pas déjà gagné ce que nous voulons le plus ? :
Nous sommes en vie ! 


Et sommes-nous “envie” aussi ?
Des envies qui nous feront un jour peut-être,
perdre la vie ?
Des envies qui nous donnent le goût de vivre ?

De quoi ai-je envie maintenant ?
De quoi ai-je envie aujourd’hui ?
De quoi ai-je envie cette année ?
De quoi ai-je vraiment envie tout au fond de moi ?

Nous vivons dans le temps de la relation au vide :
Et cette relation s’affirme par le rêve…

Le rêve de l’homme est-il un monde de paix, alors cet homme là essaie de faire la paix
en lui, dans sa famille et dans le monde, le temps de son rêve.
Mais la guerre est tellement présente dans le monde, dans sa famille et en lui,
est-il possible de sortir du cauchemar ?

Le rêve de l’homme est-il un monde de partage, alors cet homme là essaie de faire un “bon partage”
le temps de son rêve.
Mais l’avidité et l’égoïsme sont tellement présents,… en soi aussi ?
Est-il possible de sortir du cauchemar ?

Le rêve de l’homme est-il un monde de justice ?
Alors cet homme là essaie de combattre les injustices le temps de son rêve.
Mais les injustices semblent devenir de plus en plus terribles,
est-il possible de sortir du cauchemar ?

Quels que soient mes “malheurs” aujourd’hui,
y-en a-t-il qui souffrent plus que moi, qui ont “perdu” plus que moi ?

Le succès n’est pas toujours ce qu’on voit.

Quels que soient mes “bonheurs” aujourd’hui,
y-en a-t-il qui sont plus heureux que moi, qui gagnent plus que moi ?

Ai-je les yeux rivés sur mes rêves et mes cauchemars ?

Et si je “me réveillais” dans la Réalité, 
dans la réalité de l’Argent, sans les “tabous”
parce que j’en ai besoin 
et que l’argent est un formidable moyen d’échange.


Dans les sociétés primitives, l’échange était considéré comme une garantie de paix entre les tribus. Il suit un schéma qui est le suivant. On part du principe que l’échange se fait dans un premier temps entre un donneur et un receveur.
  • Le donneur donne quelque chose d’une certaine valeur (objet, aliments, aide…)
  • Le receveur se doit d’accepter. S’il n’accepte pas, cela signifie qu’il refuse le rapport social.
  • Le receveur doit rendre un élément d’une autre valeur, de préférence supérieure, et pas immédiatement. S’il rend immédiatement, c’est qu’il refuse le rapport social.
Ce rituel est établi chez certaines tribus d’indiens d’Amérique sous le nom de Potlach. (wikipedia)



Et moi, suis-je un moyen d’échange formidable ?
Est-ce agréable “d’échanger” avec moi, dans tous les sens du terme ?
Quel “commerce” fais-je avec moi-même ?
Y-a-t-il des personnes avec lesquels je ne veux aucun “commerce”
parce que ce serait un dialogue de sourds ?

“L’argent, y-a que ça de vrai !” ou bien “il n’y a que ça de faux” et peu importe !

La réalité, c’est que l’argent est le miroir le plus violent et le plus doux.
C’est là que nous nous rencontrons au plus profond de nous-mêmes.
Nous avons tellement de ressemblances avec l’argent ! :
L’argent se créé ex-nihilo, comme nous !
Mille défauts, mille qualités, comme nous !
Il peut être le pire et le meilleur, comme nous !
Un specimen d’espèce…humaine
Qui est prêt à “passer le pont” ?





Vous voulez vraiment plus d’argent ? 
plus d’argent rapidement ?
Nous vous invitons à faire le vide :
Êtes-vous prêts à perdre quelques préjugés ?

Nos stages commencent par là.

Prochain Stage OR à Peyrehorade (40)
les 27-28-29 février en tarif libre.

Sylvie, au service de l’éducation financière.


Sylvie
Sylvie

Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 2008 au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.

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