Les messages de Byron Katie
Merci Katie Thank you |
• Vous vous éloignez complètement de la réalité
quand vous croyez qu’il y a une raison valable de souffrir.
• La réalité est toujours plus douce
que ce que vous vous racontez à son sujet.
• Je suis tout à fait sûre que tout le monde m’aime.
Je ne m’attends pas à ce qu’ils l’aient déjà réalisé.
• Pour moi, la réalité est Dieu, parce qu’elle règne.
• Une pensée non investiguée est le monde de la souffrance.
• Les gens n’aiment pas – ils veulent quelque chose.
• Lorsque vous êtes sain d’esprit, vous ne souffrez pas, jamais.
• Vous êtes ce qui existe avant toute histoire.
Vous êtes ce qui reste lorsque l’histoire est comprise.
• Je suis amoureuse de ce qui est, non par spiritualité,
mais parce que ça me blesse lorsque je me dispute avec la réalité.
• Chaque personne est une image de vous-même en miroir,
votre propre pensée vous revient.
• « Je ne sais pas » est mon opinion favorite.
• Ce qui est, est. On ne vous a pas donné le choix.
Ne l’aviez vous pas remarqué ?
• Jusqu’à ce que vous vous attendiez les critiques avec impatience,
votre Travail n’est pas terminé.
• Si j’avais une prière, ce serait :
« Dieu épargne moi du besoin d’amour, d’approbation et d’appréciation. Amen. »
• Les pensées ne sont pas personnelles.
Elles apparaissent, comme des gouttes de pluie.
Vous disputeriez vous avec une goutte de pluie ?
• Soit vous croyez à vos pensées, soit vous les investiguez.
Il n’y a pas d’autre choix.
• Il n’y a pas de nouvelle pensée stressante.
Elles sont toutes recyclées.
• Le stress est une sonnette d’alarme qui vous rappelle que vous adhérez à quelque chose
qui n’est pas vrai pour vous.
• Nous ne faisons que trois choses dans la vie :
nous asseoir, nous tenir debout, être couché.
Le reste est juste une histoire.
• Le maître dont vous avez besoin est la personne avec qui vous vivez.
• Si je pense que vous êtes mon problème, je déraille.
• Le monde est la perception que j’en ai.
Je vois et j’entends uniquement à travers le filtre de mon histoire.
• Il n’y a qu’une pensée à investiguer : celle qui apparaît maintenant.
• Lorsque je me dispute avec la réalité, je perds,
mais seulement à cent pour cent.
• Chacun et chaque chose remplit parfaitement son rôle, sans erreur.
• Finalement, je suis tout ce que je connais.
• Jusqu’à ce que nous sachions que la vie et la mort sont égales,
nous vivons dans la peur.
• Lorsque je suis parfaitement clair, ce qui est est ce que je veux.
• Se disputer avec la réalité est comme vouloir apprendre à aboyer à un chat, sans espoir.
• Comment puis-je savoir que je n’ai pas besoin de ce que je veux ?
je ne l’ai pas.
• Nous craignons uniquement ce que nous n’avons pas compris.
• Il n’y a pas de problèmes physiques, uniquement mentaux.
• Nous ne prenons jamais de décision.
Quand il en est temps, la décision se prend elle même.
• Le miracle de l’amour nous vient dans la présence de l’instant non interprété.
• Personne ne peut me blesser, c’est mon rôle.
• Quand ils vous attaquent et que vous sentez que vous les aimez de tout votre cœur,
votre Travail est fait.
• Le pardon, c’est de réaliser que ce que nous pensions être arrivé ne l’est pas.
• La quête de l’amour vous éloigne de la conscience que vous l’avez déjà, que vous l’êtes.
• Vous êtes-vous posé la question ?
• Tout arrive pour moi, non à moi.
• Nous ne disons aux autres que ce que nous avons besoin d’entendre.
• Je ne lâche pas les concepts, je les remets en cause.
Alors ce sont eux qui me lâchent.
• Rien de ce que vous croyez n’est vrai.
Savoir cela est la liberté.
• Si vous voulez voir l’amour de votre vie, regardez dans un miroir.
• La réalité est toujours une histoire passée,
et ce que j’aime avec le passé, c’est qu’il est terminé.
• Nous souffrons seulement jusqu’à ce que nous réalisions que nous ne pouvons rien savoir.
• Vous ne pouvez voir que ce en quoi vous croyez,
rien d’autre n’est possible.
• Il n’y a que trois sortes d’affaires dans le monde :
les miennes, les vôtres, et celles de Dieu.
Dans les affaires de qui vous trouvez-vous ?
• Personne n’a jamais été en colère contre quelqu’un d’autre,
nous sommes seulement en colère contre notre histoire à leur propos.
• La gratitude est ce que nous sommes lorsqu’il n’y a plus d’histoire.
• Si j’avais une prière ce serait celle-ci :
« Mon dieu, épargne-moi de désirer l’amour, l’approbation et l’appréciation.
Amen. »
• Toute tristesse est un caprice.
• La dernière histoire : Dieu est tout, Dieu est bon.