L’écho de l’enfance

Le jeu de la marelle…

L’enfance est-elle passée ? On pourrait le croire.
Est-elle derrière nous ? Cela semble une évidence.

Et si elle était aussi devant nous ?
Cela signifierait que nous sommes encore dans une matrice,
ou peut-être dans le passage étroit,
instant d’oppression qui annonce le passage au nouveau monde,
accueilli par une famille réjouie…

Toute oppression est-elle l’instant avant la libération ?
Un instant qui quelquefois peut se muliplier,
le temps de “bien se retourner” (avec le Work, c’est plus facile)
pour trouver la “sortie de la matrice”.

Ne sommes-nous pas encore un enfant, notre âme d’enfant est-elle prête à se réveiller ?

Ne sommes-nous pas ignorants comme un enfant,
dans ce monde où le vocabulaire médical, chimique, physique, mathématique, technique
nous est peut-être incompréhensible, inaccessible ?
*Mais il y a des adultes qui savent !

Notre ignorance nous rend-elle innocents,
parce que nous savons de moins en moins ce qui est juste ?
*Mais il y a des adultes coupables !

Ne sommes-nous pas comme des enfants désireux d’apprendre
dans un monde où chaque jour la science fait encore de nouvelles découvertes
et où nous avons tout à apprendre ?
*Mais il y a des adultes qui ne veulent pas apprendre, ils en savent assez !

Ne sommes-nous pas comme des enfants qui n’ont pas encore d’habitude de penser,
dans un monde où les objets et les idées changent si vite de formes ?
Pas le temps de s’habituer à quelque chose, voire quelqu’un, qu’elle est déjà remplacée.
Notre seule habitude dans ce monde moderne devient l’adaptation.
*Mais il y a des adultes qui ont toujours raison !

Ne sommes-nous pas comme des enfants, complètement dépendants
d’un gouvernement mondial qui peut susciter la crainte et d’une terre généreuse
qui malgré tout ce qu’elle endure, continue de donner le meilleur d’elle même ?
*Mais il y a des adultes qui cultive l’indépendance et l’autonomie !

Ne sommes-nous pas comme des enfants, dans une cour de récréation,
prêts à dire du mal, prêts à faire du mal
et prêts aussi à oublier le mal pour continuer de jouer
avec celui-là même qui a fait du mal ou dit du mal. ?
*Mais il y a des adultes qui ont de la mémoire et qui s’en servent pour ne pas oublier !

Le mal…n’avons-nous pas réussi à l’oublier ?
Qu’est-ce qui peut nous faire oublier le mal ?
Un plus grand bien ?

Nous pouvons véritablement le trouver en questionnant nos souffrances
et notre plus grande souffrance.
Vous ne savez pas comment questionner pour trouver très rapidement un plus grand bien :
Nous sommes au service de l’enseignement de ce questionnement
dont vous seul avez les réponses !
Ne laissez personne autre que vous-même répondre à vos questions.
Vos réponses sont au bout de  chaque question, dans le point d’interrogation.

(Tous nos stages et consultations sont en tarif libre.)

Sylvie, maîtresse d’école maternelle.