Le work de Byron Katie : un Questionnement Infaillible
Cerveau gauche…cerveau droit |
“Jusqu’à ce que nous questionnions nos pensées stressantes, nous restons victime des images dans notre tête.”
Byron Katie
Until we question our stressful thoughts, we remain victims of the images in our head.
Sur la page Facebook de Katie, dans les commentaires, des personnes quelquefois remettent en question ce que dit Katie avec ses propres questions:
“Jusqu’à ce que nous questionnions nos pensées stressantes, nous restons victime des images dans notre tête.” : “Est-ce que c’est vrai de manière absolue ?”
J’ai observé qu’aussitôt que nous affirmons une “certitude”, l’univers nous a déjà “envoyé”, l’expérience du contraire, mais l’avons-nous vu, l’avons-nous entendu ?
Ce Questionnement Infaillible permet d’ouvrir nos yeux et nos oreilles à des informations précieuses qui nous donnent chaque fois des renseignements tellement utiles et pratiques pour mieux vivre avec ce qui est, découvrir que les yeux et les oreilles ouvertes, nous pouvons faire l’expérience suivante :
“La liberté n’est pas une question d’espace, mais d’état.
Mes jours de prison furent des jours de bonheur,
car ils s’écoulaient le long du Sentier du Service.
La prison, pour moi c’était la liberté.
L’épreuve m’était un repos.
La mort c’est la vie.
Être méprisé est un honneur.
Ainsi ai-je été très heureux durant toute ma captivité.”
Abdul Baha
– Observez comme Abdul Baha a pu réunir en lieu les contraires :
Nous sommes tous attendus là, à expérimenter qu’un mot et son “opposé” sont une seule et même Réalité qui peut prendre de multiples apparences selon notre attachement à croire à nos jugements.
Pratiquer le Questionnement de Byron Katie c’est chaque fois “sacrifié” tout ce qu’on a vu, entendu et compris.
Et quel bonheur intense de voir nos pensées stressantes nous quitter si simplement !
Je vous partage la suite des écrits d’Abdul Baha :
La vraie liberté, c’est de sortir de la prison du “moi”, car le “MOI” est la plus grande des prisons.
Après cette évasion, on ne pourra plus jamais vous emprisonner.
Cette liberté n’est accessible que si l’on accepte les plus cruelles vicissitudes, non pas avec une sombre résignation mais avec un acquiescement radieux.
(avec le Questionnement, vous comprendrez pourquoi c’est plus facile de le faire et d’être ainsi)
Heureux celui que la richesse n’a pas rendu vaniteux, ou que la pauvreté n’a pas rendu malheureux.
Abdul Baha
– Même ce qui est “impardonnable” ?
– Oui, ce Questionnement peut vous faire traverser les pires moments de votre vie.
Nous pouvons vous y aider, si vous le souhaitez.
Sylvie, sur le Sentier du Service, comme vous ?