C’est dur d’oublier le “mal” !
Est-ce que c’est vrai ?
Ce n’est pas dur d’oublier le mal,
quand ce n’est pas le mien, quand c’est le mal des autres.
Il suffit de penser à autre chose, d’avoir une passion,
un intérêt développé ou un développement d’intérêt.
C’est dur d’oublier le bien,
les bons souvenirs qui font chaud au coeur,
qui réchauffent l’âme.
C’est facile d’oublier le mal,
quand on est un enfant…
Serait-il possible de réveiller notre âme d’enfant ?
C’est dur d’oublier mon mal,
parce qu’il réunit toutes les dimensions de mon être :
le temps, mon corps, mon esprit, mon “âme” sont réunis dans cet instant présent
où je souffre et où je ne peux m’oublier.
Mon mal peut me tenir réuni corps et âme dans la présence.
Le mal est l’espace où nous n’avons pas encore trouvé le bien :
Mais la souffrance peut me quitter,
ou bien c’est moi qui la quitte en tombant dans une forme de coma,
“sommeil” ou je l’oublie et m’oublie enfin.
C’est dur d’oublier mon “mal penser“, mes “mauvaises pensées“.
Pourquoi a-t-on de “mauvaises pensées” ?
A quoi servent les “mauvaises pensées” ?
A développer le “bien”, les pensées positives ?
La vérité est comme l’univers, elle grandit,
et nous appelle à grandir.
Nous ne nous arrêtons jamais de “grandir”.
Quand nous sommes perturbés, c’est le signal que notre “corps de vérité” a grandi et qu’il est temps d’accéder à des vérités “plus grandes”, de compléter notre interprétation de la réalité.
Le Work est un questionnement qui permet d’accéder facilement à plus de compréhension,
celle dont j’ai vraiment besoin, pour vivre en paix
avec le monde, les autres et moi-même.
Sylvie, ni bien, ni mal.
nos pensées, ah la la la … tout commence là,non ? bonne continuation