… lorsque vous facilitez quelqu’un,
que « son problème » est aussi le vôtre ?
Peut-on rencontrer quelqu’un d’autre que soi-même ?
Byron Katie aime bien le faire observer dans les exercices.
Ouvrons-nous à cela :
Nous aidons l’autre et nous nous aidons nous-même.
Avez-vous remarqué ?
Ne croyons surtout pas que nous valons plus,
que nous avons plus compris,
le « work » apprend cela.
Et si nous ne le savons pas encore
et si nous croyons que nous sommes plus ou moins qu’un autre,
alors la « vie », qui est parfaite bienveillance,
saura nous faire comprendre, d’une manière ou d’une autre,
que nous sommes véritablement égaux (égo ?);
A moins que ce ne soit la « mort » qui nous le fasse comprendre.
La mort, est-elle l’arrêt des pensées ?
et donc la dernière « pesée »?
![]() |
| « Penser » vient du latin « pensare » qui signifie peser |
Et chaque « work », c’est aussi faire l’expérience d’une forme de mort,
c’est apprendre à mourir.
Qu’est-ce qui meurt ?
Serait-ce l’attachement à une seule forme de vérité, une seule interprétation ?
Nos « préjugés » pourraient-ils être tous destinés à « mourir », à passer :
le « work » de Byron Katie accélère ce processus.
De work en work, l’égo devient « l’Égal.
Petit à petit ou rapidement, on s’aperçoit que tous les retournements sont vrais.
Petit à petit ou rapidement, on s’aperçoit qu’ils peuvent être tous aussi vrais les uns que les autres.
Petit à petit ou rapidement, on prend conscience d’une justice immanente et transcendante :
Tout est égal, la balance est en équilibre
et l’on dort tranquille, d’un nouveau sommeil.
Que peut-on craindre sinon « une pensée »…? demande Katie.
« Rien de ce que vous croyez n’est vrai
(ou : tout est vrai)
Savoir cela c’est la Liberté. » BKT.
