“…Et délivre-nous du mal, AMEN”

“…Et délivre-nous du mal, AMEN”

“…Et délivre-nous du mal, AMEN”
L’espoir d’une grande partie de l’humanité :
Être délivré du Mal.

Pourrions-nous aussi avoir besoin d’être délivrés du “Bien” ?
Car le bien de l’un n’est peut-être pas le bien de l’autre, n’est-ce pas ?
Y-a-t-il un bien qui pourrait être le bien de tous ?
Avez-vous déjà essayé dans votre propre famille de “convertir” tous les membres à un bien collectif ?
Est-ce un travail de titan ?
Peut-être sommes-nous comme des titans, capables d’un tel travail.

Être délivré du mal…
Et si Dieu n’avait de cesse de nous en délivrer :
Ne sommes-nous pas en train de vivre le “mal’ de la délivrance (= la souffrance de la naissance), chaque fois que nous ressentons un grand stress, une oppression, la gorge serrée, etc, des symptômes qui ressemblent tant aux symptômes de notre venue au monde par les “voies naturelles”…
Ça fait peut-être mal de naître.
Un mal pour un bien ?

Dieu nous délivre chaque jour, plusieurs fois par jour.
Mais acceptons-nous la naissance nouvelle dans un nouveau monde ou bien choisissons-nous de retourner dans une matrice où nous ne serons plus jamais à notre aise ?

Chaque fois que nous restons sans questionner le mal physique ou mental qui nous fait souffrir, c’est faire le choix de vivre avec un “mal” qui ne peut qu’augmenter.
Ce mal, c’est “mal interpréter”, mal comprendre, mal regarder, mal entendre. 

Notre destin est de bien interpréter, bien comprendre, bien regarder, bien entendre, c’est à dire entendre le bien, regarder le bien, comprendre le bien et interpréter le bien chaque fois que nous ressentons un stress.

Jusqu’à ce qu’un “heureux événement” nous invite à reconnaître une terre où le mal a disparu emportant peut-être avec lui le bien : 
Il n’y a plus alors, que les fruits de notre travail, des fruits en abondance, tous plus savoureux les uns que les autres.

Approfondissez le Questionnement de Byron Katie pour questionner les maux, les plus grands maux, les vôtres comme ceux du monde, et faites-les fructifier en un temps record
Environ 45 minutes de “Travail”.
Vous ne trouverez peut-être pas de meilleur engrais pour faire fructifier l’Arbre de l’humanité.

Sylvie, fruitière, comme vous ?


Sylvie
Sylvie

Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 2008 au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.

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