Baha’u’llah, un maître dans l’art des retournements

Alláh-u-Abhá

C’est la formule de salutation des bahais 
et quand on renverse les syllabes, on obtient : 

Baha’u’llah.

Baha’u’llah, qui est à la Foi Bahaie 
ce que le Christ est au Chrétiens, 
me ravit par sa maîtrise des retournements.


En voici 2 exemples parfaits, l’un sur le temps, l’autre sur l’amour :


« Les mondes divins sont une infinité,
 mais on en parle parfois comme s’ils étaient quatre :

– Le monde du temps, qui a un commencement et une fin.
– Le monde de la durée, qui a un commencement mais dont la fin n’est pas révélée.
– Le monde de la perpétuité, dont le commencement n’est pas connu mais dont on sait qu’il a une fin.
– Le monde de l’éternité, dont on ne voit ni le commencement, ni la fin. »
Les chemins de l’amour sont aussi au nombre de 4 :

– des créatures au Véritable
– du Véritable aux créatures
– des créatures aux créatures
– du Véritable au Véritable ».

Ces extraits sont issus de « Les sept vallées » de Baha’u’llah 
qui est sa plus grande composition mystique.


Dans ce livre, Baha’ullah évoque 7 vallées à traverser pour trouver « Dieu »
La vallée de la recherche est la première étape, 
vallée où le chercheur  « ne réussira qu’en sacrifiant tout : ce qu’il a vu, entendu, compris. 
Rien de tout cela ne doit plus subsister 
s’il veut entrer au royaume de l’esprit qui est la Cité de Dieu. »

Pardonner, c’est réaliser
que ce qu’on a cru qui s’était passé 
ne s’est jamais passé…

Byron Katie


Des mots différents pour exprimer une même compréhension.
Nos stages Phénix sont directement liés à cette expérience du PARDON.


Sylvie

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