“L’équité gémit sous le joug de l’oppression…” Baha’u’llah
Un joug, comme celui entre notre Corps et notre Esprit peut-être |
Du latin jugum (« joug, esclavage, servitude ») de l’indo-européen commun dont sont également issus yoke en anglais, ζυγόν, zugón en grec ancien, Joch en allemand, иго igo en russe, یوغ yough en iranien et युग yuga en sanskrit.
“Pas envie d’être esclave et l’impression que “Tout” nous dirige vers une forme d’esclavage”
Vous pouvez le penser aussi ?
L’esclavage, c’est bien lorsque l’on ne s’appartient plus et que l’on devient la propriété d’une autre personne ?
Mais de quelle personne, ou système, devenons-nous la propriété ?
Quelle personne, ou système, peut avoir un pouvoir si puissant qu’elle pourrait entraîner toute, ou presque toute l’humanité, dans une forme de servitude ?
Mais Qui y a-t-il en face de l’esclavage ?
Un Maître bien sûr, un Maître très sûr, un Maître qui nous conduit tous d’une main de Maître.
L’Imam Sadiq (= authentique en arabe), disait :
“La servitude est une substance dont l’essence est la divinité”.
Le mot “servitude” vous hérisse ?
Et si vous découvriez que ce mot peut aussi vous calmer…
Dans servitude, n’y-a-t-il pas le mot service ?
N’avez-vous pas l’esprit de service ?
Du service à la servitude, il y a un monde, diriez-vous ?
Oui, un monde de préjugés .
Et si nous revenions à l’Origine, à la la racine du mot “servir”, du latin servire, (« servir », « être esclave », « vivre dans la servitude »).
Cherchons-nous à maîtriser nos pensées, à les diriger comme un maître dirige un esclave ?
Ça marche ?
Dans quelle mesure ?
Si quelques pensées vous préoccupent quelquefois, qu’elles soient personnelles ou qu’elles concernent le monde entier, en questionnant ces pensées, rapidement, très rapidement ,vous reconnaîtrez Celui qui pré occupe notre esprit, avant même que nous ayons conscience de nous-même.
Et que faisons-nous au fur et à mesure que nous devenons “conscients” ?
Nous faisons une guerre presque sans trêve, à Celui qui pré occupe notre esprit.
Il était là avant nous et nous voulons prendre Sa place, une place que nous ne pourrons jamais prendre car Sa puissance est au-delà de toute compréhension humaine.
Lorsque nous commençons à croire que nous sommes l’auteur, le créateur de nos pensées, c’est le début de la guerre avec Celui qui pré occupe notre esprit, une guerre vouée à l’échec.
Et si vous vous rassemblez avec d’autres personnes qui pensent comme vous pour imposer votre vision des choses, alors c’est une guerre encore plus grande et plus terrible.
Car Celui qui pré occupe notre esprit juge en toute équité et toute justice et nous enseigne l’équité et la justice quotidiennement, avez-vous remarqué, vous qui peut-être, pratiquez ce questionnement ?
Nous voulons la fin de toute guerre ?
La seule chose que nous pouvons “faire” est de nous incliner devant Lui, comme la Terre s’incline devant le Soleil, Celui qui Luit, comme tout amant s’incline devant son/sa Bien aimé(e).
J’ai tant questionné, ainsi que Katie le recommande, je questionne encore et encore chaque fois qu’une situation stressante apparaît et je vis dans l’émerveillement de ce processus qui permet de reconnaître que notre jugement vit naturellement dans l’équité et la justice :
Une affirmation questionnée, c’est au minimum 4 retournements, au moins aussi vrais, aussi justes, que le premier.
Notre seul travail, nous réhabituer à vivre sincère, du latin sincerus = propre, pur.
Nous avons compris que l’hygiène du corps est nécessaire pour une bonne santé et de bonnes odeurs.
Combien l’hygiène de l’esprit, de notre mental est-elle autant nécessaire pour une bonne santé mentale et des pensées, paroles ou gestes qui sentent bon.
Alors, comme le linge sale dans la machine à laver qui tourne, nous retournons nos “sales” pensées avec la question lessivielle (qui lave plus banc que blanc) :
“Est-ce que ça peut être vrai aussi ?”.
Quand le lavage est fini, vient le rinçage avec la question :
“De toutes ces affirmations, laquelle est la plus vraie ?”
Et combien de fois est-on capable de voir que tout est également vrai et juste ?
C’est alors le temps de l’essorage…l’âge de l’essor.
Je vous invite à Peyrehorade dans les Landes pour “laver notre linge sale en famille”:) L’humanité n’est-elle pas une seule famille ?
N’ayez pas peur de partager “votre linge sale”.
Même si cela ne se voit pas, même si vous n’y croyez pas aujourd’hui,
rendez-vous compte que nous sommes déjà tous dans le même bain 🙂
Notre jardin que nous croyons secret, est un jardin public.
Je pratique un lavage doux, à 30° et n’utilise que des produits naturels qui respectent l’environnement.
Bienvenue au Pressing de Peyrehorade.
Tel : 06 51 41 71 05
Sylvie, employée de Pressing,
“Un chewing-gum collé sur un vêtement”, “un blues-on à nettoyer à sec”, “une nappe tachée avec du vain rouge”… L’employé de pressing est là pour nettoyer les articles textiles ordinaires ou délicats qui lui sont confiés et les rendre aux clients « comme neufs ».