Allo la Terre, comment ça va ?
Ça va …
– De mieux en mieux ?
– De mal en pis ?
– Toujours pareil ?
Quelle serait votre réponse ?
Jean Luc a répondu : de mal en pis; vous aussi ?
Jean Luc regarde notre terre et souffre de voir tant d‘inégalité de richesses.
Des inégalités qui, selon ses sources, ne cessent de grandir.
Le monde est en proie à une cupidité sans borne !
Comment ne pas voir cela ?
Comment ne pas être touché par la misère du monde ?
Jean-Luc vibre de compassion profonde.
“Mais, que peut apporter le “work” de Byron Katie ! pense-t-il
Ce n’est pas le Work qui peut changer les malheurs du monde”…
On ne fait pas un Work pour changer les choses :
Le Work permet de comprendre, d’entendre et de rencontrer la plus haute forme d’Éducation qui soit.
Observez :
Inégalités de richesses = ?
Richesses des Inégalités : Les inégalités,ne sont-elles pas AUSSI sources de richesses ?
La différence, n’est-elle pas une excellente chose ?
Vous avez envie d’être tous pareils ? De tous avoir les mêmes revenus ?
“Ah NON !” Jean-Luc tient trop à sa différence, il ne veut pas être compté dans les moutons de Panurge !
“Mais limitons les extrêmes de richesse et de pauvreté !” affirme-t-il.
OUI et je proposerais même : Limitons les extrêmes tout court.
Mais, il y a un mais :
Vous les Extrémistes, Nous les Extrémistes, avons-nous envie d’être LIMITES ?
Peut-être pas, n’est-ce pas ?
Jean Luc, seriez-vous un “extrémiste” pour désirer si ardemment limiter les extrêmes, quelles qu’elles soient ?
Je crois qu’un bon sourire naît sur le visage de Jean Luc :
OUI, Jean-Luc est un adepte des sensations extrêmes. Même dans son ressenti de sa propre “richesse” et de sa propre “pauvreté”.
Sans extrême, Jean-Luc s’ennuie, la vie lui semble trop morne.
Quoi de mieux que quelques situations extrêmes pour se sentir en vie…
Quoi de mieux / quoi de pire, que des extrêmes de richesse et de pauvreté mondialisées, pour qu’une Compassion vive et mondiale remplisse les cœurs…
Mais a-t-on vraiment besoin de vivre cela pour qu’une Compassion véritable naisse dans nos cœurs et ne le quitte plus ?
A-t-on besoin de connaître la cruauté, la dureté, pour quitter nos envies, notre indifférence et notre insensibilité.
Peut-être…et jusqu’à quand ?
Sylvie, au service de la plus haute Education