Et si la colère était bonne conseillère ?

Ami(e)s du Work,

Avez-vous observé combien vous avez été éclairé(e)
chaque fois que vous avez utilisé ce questionnement ?
Combien vos tensions baissent à chaque fois …
Et comment la Réalité/vérité se dévoile à chaque “retournement”!

Et pourtant ! Qui continue vraiment à l’utiliser ?
Byron Katie nous invite à en faire une pratique quotidienne,
(le matin avant le petit déjeuner, pourquoi pas !)
C’est une méditation, aurait-elle raison ?

Pourquoi l’utiliser si peu quand on en connaît tous les bienfaits ?

D’ailleurs, sans doute est-ce pareil pour d’autres bonnes habitudes :
Nous savons que ce serait bien pour nous et nous ne le faisons pas toujours.

Qui fait toujours ce qui est Bien ?

L’exercice du Work vous amènera  chaque fois devant le Bien de toutes choses.
Cet exercice est votre rendez-vous personnel
qui vous conduit dans ce jardin au-delà du bien et du mal :
Cette terre promise dans toutes les Ecritures
et qui est à votre portée tout au bout de cette question ?
Ce que je crois, est-ce que c’est VRAI ?
Qui serais-je sans cette croyance ?

Le Work semble faire parti du développement personnel
et il est beaucoup plus que cela.
Il vous emmène aux pieds de vérités de plus en plus Grandes.
Ne l’avez-vous pas observé ?

Allez, j’ose partager dans cette lettre ce qui vous mènera directement
à la porte de ce que certains appellent “l’Eveil”.
Est-ce cela que vous cherchez ?
Vous sentez-vous prêt, là, maintenant, tout de suite ?

Si vous répondez non : vous pouvez transmettre cette lettre
à vos amis qui ont peut-être cet objectif.

Si oui, alors faites l’exercice suivant :

Cherchez dans votre vie vos Colères,
identifiez la plus “Violente”
et faites le Work sur l’objet/sujet de votre colère la plus Vive;

Je vous recommande de le faire à deux.
Le mieux est de le faire avec quelqu’un qui a déjà l’habitude.
Vous êtes nombreux aujourd’hui à avoir appris
à “questionner” vos croyances; vous avez tous la liste des participants !
Appelez-vous et prenez rendez-vous entre vous !

Que va t-il se passer ?
Votre colère la plus Vive vous rendra la VIE !
Comprenez-vous ?

Vous voulez vivre sur une terre de Paix,
questionnez toutes vos colères !
Vous attendez “l’ère de la plus grande Paix” ?
alors “visitez” votre plus grande Colère !

Un petit mot de plus :
La prochaine fois que vous êtes en colère,
OSEZ faire un “work” tout de suite,
pendant votre Colère…
et… Réjouissez-vous…REJOYCE !

A très bientôt,
Sylvie


Sylvie
Sylvie

Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 2008 au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.

commentaires

  1. Désormais, à chaque fois que la colère se présente avec sa montée d’adrenaline, grâce au travail de Byron katie, je “chope” à la vitesse de l’éclair la croyance qui se cache en dessous. La colère me sert seulement à cacher une peur, une culpabilité, parfois même une haine, ou encore une pensée non pardonnée. C’est plus facile de projeter sa colère que de prendre la responsabilité de son erreur. Est-ce vrai?
    Aujourd’hui, ma colère investiguée se met au service de ce qui est absolument délicieux en moi: des valeurs oubliées depuis la nuit des temps comme la douceur, la confiance…écouter celui qui est en face pour comprendre qu il porte en lui le même besoin universel d’amour que moi,que nous, et qu’il est donc mon égal, notre égal. Le travail du work consiste pour moi à déterrer des cauchemards pour les remplacer par des rêves heureux.

  2. Chère Nadia,
    Merci de donner de la vie à ce blog.
    Et en déterrant nos cauchemars, que faisons-nous aussi ?
    – Nous déterrons nos rêves enfouis !
    – Nous enterrons nos cauchemars : et ils tombent en poussière dans la tombe avec notre corps.
    – Nos cauchemars nous déterrent! C’est la RESURRECTION ! Merci à toi Nadia de questionner tes colères et merci à tous ceux qui vont comprendre et pratiquer.
    Invitez vos amis à nos stages !

  3. C’est le bon moment de faire ce stage diamant,comme un lien invisible qui m’attire pour chasser mes nuages et me faire renaître

    A samedi…

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