Quand une pensée “blesse”, dérange, fait mal, irrite, c’est le signal qu’elle n’est pas vraie.
Byron Katie
Une pensée pénible = Je veux que quelque chose soit différent.
Est-ce que c’est vrai ?
Oui
Pouvez-vous absolument savoir que c’est vrai ?
Oui
Comment réagissez-vous quand vous pensez cela ?
Ça fait mal à l’intérieur.
Qui seriez-vous sans cette pensée ?
Je serais libre.
Est-ce que c’est vrai que vous voulez que les choses soient différentes ?
Retournez cette pensée :
Je ne veux pas que les choses soient différentes.
Est-ce que cela peut être vrai aussi ?
Y-a-til des avantages aux choses telles qu’elles sont actuellement ?
Est-ce que j’y gagne quelque chose ? une valeur particulière ?
Observez…
En d’autres termes, ce n’est pas vraiment vrai que nous voulons que les choses soient différentes.
Mais difficile d’en devenir conscient sans ce questionnement “renversant”!
Sans le questionnement, la souffrance peut continuer bien longtemps.
La réalité, c’est que toute pensée qui “dérange” n’est pas vraie,
parce que ce n’est pas ce que nous voulons vraiment.
Nous avons juste besoin d’investiguer, de questionner, de le voir.
Et découvrir que ce que nous voulons vraiment,
est caché dans les avantages de toute pensée pénible.
Observez et goûtez les autres retournements :
Je veux que quelque chose soit semblable…
Je veux être différent…
Je veux avoir une pensée différente…
Sylvie, de plus en plus différente de ce qu’elle était et de plus en plus semblable à “l’autre”.