Tous les chemins mènent-ils à Rome ? |
La confusion est la seule souffrance…commence Katie
dans “Une brève anthologie des mots de Katie”
Pourrait-elle être aussi le seul plaisir ?
la confusion, dans sa pure essence,
n’est-elle pas ce que beaucoup recherchent :
*La Fin de la Dualité*
Et le contraire de la Confusion, la Clarté,
apporte-t-elle des souffrances, moultes souffrances ?
Quand je crois que je suis “clair”
et que les Autres ne le sont pas…souffrance ?
Certains manifestent de la Clarté et voient autant de Clarté chez ces Autres.
Peut-on être dans une Confusion éclairée ?
Quand on ne fait plus la Différence entre Moi et l’Autre ?
Quand j’aime mon Prochain autant que Moi-même ?
La vie, tout autant que la mort, nous conduit / nous ramène
vers ce Semblable, ce “No difference”
en nous faisant expérimenter toutes les différences / toutes les similitudes.
Qu’est-ce qui rend le plus heureux ?
Les différences ? les similitudes ?
Les deux ?
Un peu des deux sans doute,
et ma balance, est-elle en équilibre ?
Si je questionne chaque jugement qu’il soit “positif” ou négatif”,
chaque regard que je porte sur moi-même, les Autres ou le Monde,
le moment où je questionne
avec les 4 questions et les retournements,
me rend le même ‘Verdict’ :
Les retournements sont tous vrais
et peut-être aussi vrais les uns que les autres.
Quand je suis éclairé, ma balance de la vérité est en équilibre.
quand je ne suis pas encore tout à fait clair,
certains retournements ne me semblent pas vrais
ou moins vrais que l’affirmation de départ.
Le moment où je questionne,
c’est l’instant qui me délivre
parce que j’ouvre les yeux et mes oreilles à ma vérité plus profonde, plus élevée.
Je découvre que ma première affirmation était une interprétation incomplète de la réalité.
Et je m’apaise devant ma capacité à pardonner à l’autre, à Moi-même
à voir tous mes jugements erronés, tous mes préjugés.
Chaque work me conduit à recevoir de la compassion, de la miséricorde, de l’amour.
Je prends mes pensées “négatives”, je les questionne et je vis plus paisible.
L’instant de la question est libérateur
comme aussi, l’instant sans question.
Qui serais-je sans cette pensée qui me dérange ?
Combien de fois répondons-nous ? “Je ne me poserais pas la question.”
Et donc nous vivons déjà ainsi, sans nous poser les “bonnes” questions !
Puis-je questionner chacune de mes colères, chacune de mes tristesses,
chacun de mes ressentiments ?
J’y trouverai les plus grands trésors
à la hauteur de la sincérité à laquelle je réponds à la question :
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