J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur de l’homme résidaient la miséricorde et la générosité. Personne ne naît haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de son passé, ou de sa religion. Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, on peut leur enseigner aussi à aimer, car l’amour naît plus naturellement dans le cœur de l’homme que son contraire.
Un long chemin vers la liberté de Nelson Mandela
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J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur de l’homme résidaient la miséricorde et la générosité. Personne ne naît haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de son passé, ou de sa religion. Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, on peut leur enseigner aussi à aimer, car l’amour naît plus naturellement dans le cœur de l’homme que son contraire.
Un long chemin vers la liberté de Nelson Mandela
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J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur de l’homme résidaient la miséricorde et la générosité. Personne ne naît haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de son passé, ou de sa religion. Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, on peut leur enseigner aussi à aimer, car l’amour naît plus naturellement dans le cœur de l’homme que son contraire.
Un long chemin vers la liberté de Nelson Mandela
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Vous avez décoré votre maison avec un sapin de Noël ?
Un sapin de Noël…pluie de cadeaux en perspective ?
“J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur de l’homme résidaient la miséricorde et la générosité.
Personne ne naît en haïssant une autre personne
à cause de la couleur de sa peau,
ou de son passé, ou de sa religion.”
Nelson Mandela “au plus profond du cœur”… suffirait-il de vouloir, pouvoir, savoir “creuser” pour trouver miséricorde et générosité dans le cœur de tous les hommes ?
Creuser…Le Work de Byron Katie est ce Travail, un travail qui chaque fois, nous fait retrouver une miséricorde et une générosité intactes, pures.
Prenez le Temps de questionner vos blessures, vos colères, vos plaintes,…
Vous avez, nous avons tous, le pouvoir de les transformer en louanges, en sérénité et en guérison.
Le voulez-vous, le voulons-nous, vraiment ?
Ou préférons-nous vivre stressé avec nos vaines imaginations ?
Nul ne résiste au Questionnement de Byron Katie, c’est mon observation en 7 ans de pratique intensive, sauf celui qui refuse ou oublie de questionner.
Pour celui-là, que nous pouvons tous être de temps à autre, j’ai une proposition de cadeau pour ce Noël :
L’arbre généreux de Shel Silverstein,
un livre émouvant, écolo, philosophique,
une très belle histoire touchante,
un livre pour tout public.
Pour ceux qui ont envie de déjà la lire, je vous offre l’histoire de l’Arbre généreux, que mes élèves ont étudié avec grand bonheur durant ce mois de la générosité, et joué hier soir, pour la plus grande joie de leurs parents :
une soirée théâtre, poésies créées par les enfants mises en musique en chanson et en danses par un papa musicien, une soirée artistique comme j’aime qui s’est terminée par l’invitation surprise des enfants à danser rap, rock et valse, inédits avec leur papa ou leur maman.
Ça sent les vacances…
Je nous souhaite à tous, d’être aussi généreux qu’un Arbre, chaque jour de notre vie.
Quel plus bel exemple de générosité !
Joyeux Noël, pensez aux arbres, à tous les arbres,
l’homme est peut-être un arbre qui marche…
Voici 4 arbres qui marchent, sur 23, que je cultive avec le plus grand soin :
Sylvie, sylvicultrice 🙂
L’ARBRE GENEREUX
Il était une fois un arbre…qui aimait un petit garçon.
Et le garçon venait le voir tous les jours.
Il cueillait ses feuilles et il s’en faisait des couronnes pour jouer au roi de la forêt.
Il grimpait à son tronc et se balançait à ses branches et mangeait ses pommes.
Et puis ils jouaient à va-te-cacher.
Quand il était fatigué, il dormait dans son ombre.
Et le garçon aimait l’arbre…énormément.
Et l’arbre était heureux.
Mais le temps passa.
Et le garçon grandit.
Et l’arbre resta souvent seul.
Puis un jour, le garçon vint voir l’arbre et l’arbre lui dit :
– Approche-toi, mon garçon grimpe à mon tronc et balance-toi à mes branches et mange mes pommes et joue dans mon ombre et soit heureux.
– Je suis trop grand pour grimper aux arbres et pour jouer. Je veux acheter des trucs et m’amuser. Je veux de l’argent. Peux-tu me donner de l’argent ?
– Je regrette mais je n’ai pas d’argent. Je n’ai que des feuilles et des pommes. Prends mes pommes, mon garçon, et va les vendre en ville. Ainsi tu auras de l’argent et tu seras heureux.
Alors le garçon grimpa dans l’arbre, cueillit les pommes et les emporta.
Et l’arbre fut heureux.
Mais le garçon resta longtemps sans revenir…
Et l’arbre devint triste.
Puis un jour le garçon revint;
l’arbre trembla de joie et dit :
– Approche-toi mon garçon, grimpe à mon tronc et balance-toi à mes branches et soit heureux.
– J’ai trop à faire pour grimper aux arbres, je veux une maison qui me tienne chaud. Je veux une femme et je veux des enfants, j’ai donc besoin d’une maison.
– Je n’ai pas de maison, c’est la forêt ma maison, mais tu peux couper mes branches et bâtir une maison. Alors tu seras heureux.
Le garçon lui coupa donc ses branches et les emporta pour construire sa maison.
Et l’arbre fut heureux.
Mais le garçon resta longtemps sans revenir.
Et quand il revint, l’arbre fut tellement heureux qu’il put à peine parler.
– Approche-toi mon garçon, viens jouer.
– Je suis trop vieux et trop triste pour jouer. Je veux un bateau qui m’emmènera loin d’ici. Peux-tu me donner un bateau ?
– Coupe mon tronc et fais un bateau. Ensuite tu pourras t’en aller…et être heureux.
Alors le garçon lui coupa le tronc et en fit un bateau pour s’en aller.
Et l’arbre fut heureux … mais pas tout à fait.
Et très longtemps après le garçon revint encore.
– Je regrette, mon garçon, mais il ne me reste rien à te donner. Je n’ai plus de pommes.
– Mes dents sont trop faibles pour des pommes.
– Je n’ai plus de branches. Tu ne peux plus t’y balancer,
– Je suis trop vieux pour me balancer aux branches.
– Je n’ai plus de tronc. Tu ne peux pas grimper.
– Je suis trop fatigué pour grimper aux arbres.
– Je suis navré. J’aimerais bien te donner quelque chose … mais je n’ai plus rien. Je ne suis plus qu’une vieille souche. Je suis navré …
– Je n’ai plus besoin de grand-chose maintenant, juste un endroit tranquille pour m’asseoir et me reposer. Je suis très fatigué.
– Et bien, et bien, une vieille souche c’est bien pour s’asseoir et se reposer. Approche-toi, mon garçon, assieds-toi. Assieds-toi et repose-toi.
Ainsi fit le garçon.
Et l’arbre fut heureux.
Auteur : Shel Silverstein
Collection école des loisirs
J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur de l’homme résidaient la miséricorde et la générosité. Personne ne naît haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de son passé, ou de sa religion. Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, on peut leur enseigner aussi à aimer, car l’amour naît plus naturellement dans le cœur de l’homme que son contraire.
Un long chemin vers la liberté de Nelson Mandela
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