The Work

seriez-vous preneur ?

Il permet simplement de tout regarder dans une autre perspective :
de poser les questions autrement, de répondre autrement,
en visitant les contraires.
Les contraires peuvent être des ponts, des portes,
et si vous n’en avez pas encore fait l’expérience, je vous y invite maintenant.

Si nous avons des questions, il est fort probable que nous ayons au moins une partie de la réponse.
Poser une question est déjà en soi, un essai de réponse.

Se libérer de l’emprise des pensées…
L’emprise des pensées….
Se libérer de l’emprise…laquelle, lesquelles ?
Se libérer, tout court peut-être et de quoi ? des pensées, vraiment ?

Est-ce que certaines pensées vous font souffrir ?
Vous sentez-vous emprisonné dans certaines façon de penser ?
Le mieux est de “travailler” directement les pensées stressantes.
Mais retournons cette question avec le jeu des contraires :

Comment s’enfermer dans l’emprise des pensées ?
Cesser de vouloir se libérer, fuir, aller au Face à Face avec la pensée “harceleuse”.
Dire : OK, tu es là, je t’écoute, qu’as-tu à me dire ?

Comment se libérer de l’emprise d’une pensée ?
Parce qu’il y en a peut-être pas tant que cela dont vous avez besoin de vous libérer ?

Avez-vous jamais imaginé, que les pensées “harcelantes”
pourraient être des histoires qui n’ont pas été bien entendues, bien vues, bien interprétées
et que tel un enfant qui n’abandonne pas ce qu’il veut, les pensées reviennent à la “charge”
jusqu’à ce que vous entendiez, regardiez et interprétiez d’une manière JUSTE.
C’est ce que propose merveilleusement le questionnement du Work de Byron Katie

JUSTE / INJUSTE…JUSTICE / INJUSTICE
Que de conversations autour de ces thèmes sur la terre !
Serait-il possible de reconnaître un JUSTE et une JUSTICE qui m’apaise complètement ?
OUI,
en questionnant chaque pensée stressante,
nous ouvrons les yeux sur un mental bienveillant projetant un monde bienveillant.

Comment se libérer du désir de contrôler / de mon emprise sur les pensées ?
Parce qu’il faut bien voir que si mes pensées ont une forte emprise sur moi
c’est uniquement parce que j’ai le désir de les contrôler !
Les petits enfants n’ont pas encore ce désir (à priori).
L’emprise que les pensées ont sur vous est exactement la même que votre désir de les contrôler.
Il ne peut y avoir “emprise des pensées” sans désir de contrôler ses pensées”.
Vérifiez, regardez en vous.


Quelle est la nature des pensées ?
C’est de passer sans s’arrêter, elles transmettent simplement une information.
Je peux la prendre ou pas, y croire ou pas.
Le “problème” commence quand je m’identifie aux pensées, que je “l’arrête” en moi.
Quand l’identification devient si forte que je ne fais plus la différence entre les pensées et “moi”.
Quand “je” devient “mes” pensées.


Le Work apporte l’expérience de ressentir
que ce sont les pensées qui nous lâchent dès qu’on les “questionnent”.
Nul besoin de vouloir lâcher les pensées, c’est leur nature de nous quitter,
nous les gardons prisonnières dans notre bulle identitaire !


Comment se libérer de l’emprise des actions ?
L’action est, le plus souvent, au bout de la chaîne :
Je pense, je dis, je fais.
La pensée, le plus souvent, précède l’acte.
Nos actes ont des conséquences…
Y-a-t-il des actes que j’ai fait et qui ont une emprise forte sur ma vie
et lesquels ?
Est-ce que je peux éprouver de la honte, de la culpabilité, du ressentiment
et je ne sais pas comment me délivrer de ces pensées ?

Le développement personnel offre une multitude de réponses,
le Work aussi.

Comment se libérer des pensées d’emprise ?
Et oui, ne faisons pas le problème plus gros qu’il n’est.
Entrons avec délice dans la relativité :
ce ne sont pas TOUTES  les pensées qui ont une emprise sur moi,
seulement certaines,
un tout petit pourcentage sur la somme totale de mes pensées.
Les pensées d’emprise sont celles qui sont “emprisonnées”,
celles qui racontent Mon Histoire, Mes Histoires que je n’ai pas pu oubliées.
Et qui peuvent me “hanter” jusqu’à ce que je les questionne…


Comment penser l’emprise de la libération ?
Question primordiale :
Depuis combien de temps l’homme nourrit-il le désir de se libérer ?
“Je ne suis pas libre!”
Est-ce que c’est vrai ?
Quelle(s) liberté(s) cherchons-nous ?

Rire, rire, rire

Lors de l’Ecole en 9 jours de Katie,
nous passons le 4ème jour à questionner nos hontes
et cela s’achève par un feu d’artifice de :
“I am now free to…”
“Je suis maintenant libre de…”
où chacun exprime la liberté nouvelle/ancienne
qu’il vient de réveiller.


De quoi souhaitez-vous vraiment vous libérer ?
Testez le Work, 4 questions et des retournements,
si simple et tellement libérateur !


Sylvie