Questionner…seul ou à deux ?

Le work est comme une lampe frontale

A deux, c’est vraiment la meilleure façon de questionner :

Parce que le hasard fait si bien les choses
que le travail de l’un est aussi le travail de l’autre,
l’avez-vous remarqué ?
Et si vous ne l’avez pas encore remarqué, posez-vous la question.
A deux, les fruits sont multipliés : c’est gagnant-gagnant.

A deux, cela permet à celui qui répond aux questions
de se décharger du processus du questionnement.
Et celui qui questionne aura tout avantage à écrire les réponses
pour pouvoir revenir sur des éléments clé,
comme “l’ordonnance pour le bonheur”
ou d’autres clés qui sont déjà communiquées un peu partout sur ce blog.

A deux, c’est comme pénétrer dans un tunnel noir, avec la lampe du Work,
et la présence de l’autre est un encouragement mutuel pour avancer dans le noir.

Seul avec vous-même, vous choisissez le chemin le plus difficile, (mais pas impossible) :

A moins d’avoir une grande concentration,
vous risquez de vous dispersez,
de vous perdre avec un mental qui peut se comporter
comme un singe qui saute de branche en branche.
Les pensées peuvent passer si vite
et vous aurez du mal à garder le sujet de votre questionnement.

Alors, si vous avez décidé de vous questionner seul,
prenez une feuille et stoppez vos pensées sur la feuille.
Vous pouvez utiliser la feuille “jugez votre voisin”,

pictogramme du tunnel

elle est excellente.

Mais retenez qu’un Work à deux vous permettra d’aller vraiment plus loin,
ou vraiment plus près des réponses que vous cherchez.
Lors des stages, je fais quelquefois faire l’expérience du même work seul ou à deux.
100% des personnes expérimentent combien la même question
n’amène pas du tout le même résultat :
A deux, c’est vraiment plus riche, plus éclairant, plus “fort”.

Sylvie