Je suis avec Danièle*qui souffre d’intolérance alimentaire grave
depuis sa tendre enfance.
Aujourd’hui, 49 ans, elle nourrit le rêve de pouvoir manger normalement.
Le Work peut-il l’aider ?
“Je ne sais pas mais il peut vous permettre d’avoir d’autres perspectives sur votre problème”.
J’ai des intolérances alimentaires…
En crise depuis 4 ans, syncopes, convulsions, douleurs, manque d’énergie…
“J’aimerais que ça change…!”
4 questions et les retournements :
J’ai des tolérances alimentaires : les oeufs, les noix et les pâtes.
et depuis 1 an, Danièle cerne de mieux en mieux ce que son corps tolère.
Quel est l’opposé de ‘alimentaire’ ?
Danièle propose matérielle.
J’ai des intolérances matérielles
(Si vous avez un minimum de connaissances d’étymologie des mots,
cela vous servira beaucoup dans le Work…
Je vous encourage fortement à réveiller les langues mortes latines et grecques,
vous ferez de merveilleuses découvertes !)
Dans “matérielle”, j’entends “mater” : la mère
et aussitôt j’entends que la relation à la mère est à questionner.
2 secondes après cette réflexion intérieure, Danièle propose en 2ème exemple de ce retournement une relation extrêmement pénible avec sa mère.
Je lui demande alors de me faire le portrait de sa mère :
Voici quelques uns de ses mots :
– “Elle sait être aimante, joyeuse, donner mais il y a toujours une contrepartie,
elle peut être très méchante….
– je me suis battue pour ne pas avoir ses défauts : agressivité / méchanceté / besoin de faire mal.
– Dès que j’ouvre la bouche, c’est faux, pas bon, mauvais.
3 jours après, elle me rappelle pour me dire que mon idée était bonne.”
En faisant ce portrait, Danièle se donnait des clés pour comprendre son intolérance alimentaire.
Observez ce que le Work permet de regarder :
– Elle = LA NOURRITURE sait être aimante, joyeuse, donner mais il y a toujours une contrepartie,
elle = LA NOURRITURE peut être très méchante….
– Je me suis battue pour ne pas avoir ses défauts : et c’est la NOURRITURE qui est devenue agressivité / méchanceté / besoin de faire mal.
– Dès que j’ouvre la bouche pour manger, c’est = LA NOURRITURE qui devient faux, pas bon, mauvais.
3 jours après, elle me rappelle pour me dire que mon idée était bonne.
Quelle belle analogie !
Alors, peut-on entrevoir que le rêve de pouvoir manger normalement est réalisable pour Danièle
et peut dépendre entièrement d’avoir une bonne image de sa mère ?
Est-il possible de moins voir, ou ne plus voir l’agressivité / la méchanceté / le besoin de faire mal
de sa mère ?
Tant que l’image négative subsiste, les aliments restent “méchants”,
dès que l’image deviendra moins négative, il est extrêmement probable que le rêve de Danièle se réalise.
Et ce travail sur “l’image” se fait merveilleusement avec le Work.
Histoire à suivre…
Sylvie
*(Par souci de confidentialité, le prénom est changé)
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