De l’Oppression vers la Liberté

De l’Oppression vers la Liberté

Aujourd’hui, la Justice se lamente sur son état 
et l’Équité gémit sous le joug de l’oppression.
 
Tout homme a été  doté de la capacité de percevoir ce qui débarrassera et purifiera le peuple du monde (de ses pensées) de la lutte et de la dissension que les différences entre les religions provoquent.

 (Baha’u’llah).

Le monde est aussi le monde de nos pensées selon le dernier retournement auquel nous invite Katie.

(religion = chaque fois que nous croyons avoir raison …ou tort).

Chaque fois que nous croyons avoir raison, nous introduisons la lutte et l’oppression dans nos relations avec le monde, avec les autres et en nous-même.
La vie aime l’équité, la vie est équité
et celui qui questionne ses croyances, ses pensées, ses observations même scientifiques, 
se réveille dans une Réalité qui est pure expression de la justice où nul ne peut s’élever au-dessus de l’autre.
Nous sommes destinés à l’Équité car nous venons de l’Équité.
Nous sommes destinés à la Justice car nous venons de la Justice.

Et le Questionnement de Byron Katie  est un chemin particulièrement rapide pour atteindre notre destination.
Notre destination se manifeste à chaque instant.
Mais chaque fois que nous traversons ou sommes traversés par un ressenti, un jugement du moment, l’instant peut ne plus être reconnu comme la manifestation de  notre destination, de notre volonté.
Le Questionnement de Katie est idéal pour reconnaître que tout ce que nous vivons est l’expression parfaite de notre volonté.
Même si cela ne semble pas évident à recevoir, celui qui questionne avec sincérité se réveille dans cette réalité.
Notre destination est atteinte dans le non-ressenti et le non-jugement, c’est à dire un ressenti et un jugement qui ne peuvent se reconnaître eux-même. 
Celui qui affirme être dans le non-jugement, aussitôt ne l’est plus.
Celui qui affirme sa liberté, aussitôt ne l’est plus.

La liberté ne peut se connaître elle-même.

Nous ne sommes que liberté et tant que nous n’en serons pas conscients, nous connaîtrons la forme d’oppression opposée à la forme de liberté que nous cherchons.
Parce que c’est par les opposés que la conscience se fait et grandit.
 
Mais la Liberté a-t-elle une forme ?

La liberté a les formes de chaque instant, elle est mouvante, dansante …et marrante.

“J’en ai marre de…” il est temps de questionner pour vous marrer !

Sylvie, qui aime bien se marrer, comme vous ?
 


Sylvie
Sylvie

Sylvie Boute, psychopédagogue, depuis 2008 au service de la diffusion du Work auprès des enfants, des adolescents et des adultes de tous âges.

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